Thérapie de couple et médiation familiale cabinet psychologie à Paris

Pourquoi envisager une thérapie de couple?

Pourquoi envisager une thérapie de couple ?

Un couple est avant tout la liaison de deux individus qui cherchent dans l’union à réaliser un projet commun de vie, une harmonie et un partage à travers l’amour .
Bien souvent ils cherchent l’une dans l’autre ce qu’ils n’ont pu trouver en eux-mêmes , comme par magie !
Mais pour parler d’amour il faut prendre conscience de ceci; avant d’aimer quelqu’un il faut être capable de s’aimer soi-même afin de faire rayonner cet amour autour de soi .
Comme il est dit dans la Bible :aime ton prochain comme toi-même ..
Ceci veut bien dire que l’amour de l’autre commence avanti tout par l’amour de soi, comment pouvons-nous aimer correctement une autre personne si nous ne nous aimons pas correctement nous-mêmes ?
Dans la thérapie de couple nous prenons contact avec nos zones sombres et permettant ainsi à chacun de retrouver l’estime de soi pour pouvoir estimer l’autre comme il se doit .
Comprendre et analyser ses manques dans son harmonie personnelle pour aller avec apaisement et sans pression vers l’harmonie générale .
Dans la durée de vie de couple il y a des périodes de ressentiment, de manque de considération de manque de gratitude de manque de compréhension .
En quelques séances les deux personnes trouvent un espace de parole , de médiation objective pour une communication sereine apaisée et sans conflits .
Ainsi chacun comprend le travail qui lui reste à faire sur lui-même afin de ne pas faire payer à l’autre ses propres frustrations remords et regrets, ses doutes ses craintes ses colères et ses manques..
L’autre n’est pas la solution à tous nos problèmes , l’autre c’est la moitié de soi qui permet à travers une relation fluide et autonome de pouvoir faire le “UN”, retrouver l’unicité entre deux personnes .
Ce qui est le plus important pour se faire, c’est la qualité de la relation qui les lie et cette relation ne doit être ni étouffante ni fusionnelle ni envahissante.
La seule période de fusion se situe dans l’union sexuelle du couple où là , effectivement l’un dans l’autre ils ne font plus qu’UN.Tout un travail d’élaboration pour le réaliser enfin.

La maison des maternelles-valerie-grumelinH

Emissions TV

Emission France 2 « Ca commence aujourd’hui » du 13 octobre 2017
Prêtes à tout pour rester jeunes

Invitées : Valérie Grumelin psychologue psychothérapeute et Sylvie Poignonec Chirurgienne plasticienne et esthétique


Emission France 5 « La maison des maternelles » du 06 octobre 2017

Ces bébés que l’on attend plus

Invitées : Valérie Grumelin psychologue psychothérapeute
à partir de 00:04:35
Chaque naissance est un petit miracle en soi. Mais certains bébés sont un vrai « cadeau du destin » ! Ils surgissent dans la vie de leurs parents qui, confrontés à l’infertilité, la maladie ou un accident de la vie, ne les attendaient plus. Pour évoquer ces belles histoires qui nous mettent du baume au cœur nous sommes avec : Valérie Grumelin, psychothérapeute, fondatrice du site « le guide de l’infertilité » (http://www.guide-de-l-infertilite.fr/)

Emission France 5 « Allo docteur » du 03 mars 2014

Les réponses avec le Dr Philippe Brenot, psychiatre sexologue, et Valérie Grumelin-Halimi, psychologue :

« Il y a des sous-déclarations concernant la masturbation. La question posée dans toutes les études est la suivante : vous êtes-vous déjà masturbé une fois dans votre vie ? Nous sommes aujourd’hui à un fort taux de 70-80% mais moins de la moitié des femmes ont une pratique habituelle de la masturbation. Et seulement un tiers des femmes ont une pratique assez intense de la masturbation. Cela a un lien assez direct avec l’épanouissement facile, ce que l’on pourrait appeler l’autonomie. C’est-à-dire que je peux jouir indépendamment de son partenaire. Cela donne à la région génitale une capacité de décharge orgasmique par exemple. »


Hérédité des troubles psychologiques

Les traumatismes psychologiques peuvent-ils être héréditaires?

Hérédité des troubles psychologiques

Secrets de famille, phénomènes de violences de société, démence, stress, pression familiale ces expériences peuvent-être parfois immuables  et toucher les descendants eux-mêmes .

Chaque génération transmet vraisemblablement un héritage positif mais aussi, des legs  beaucoup moins gratifiants et bien souvent problématiques.

La douleur, le deuil, les souffrances se transmettent donc aux générations suivantes malgré les mots non exprimés.

Les événements traumatisants ne touchent pas seulement les personnes,  mais aussi leurs descendants.

Comment un trauma peut-il être héréditaire?

A chaque vague de réfugiés , sa cohorte d’enfants traumatisés. Ils ne sont pas conscients de l'être , pourtant bien évidemment, ils ne sont point épargnés. Ils héritent pourtant des traumatismes de leurs parents , ils traînent le lourd fardeau d'une dynamique familiale brisée, perturbée, d’une forme de sacrifice.

Comment ces cicatrices de l’âme , se transmettent-elles?

Il existe quatre niveaux de transmission générationelle ,

  • la première la plus profonde c'est l'épi-génétique qui touche aux mécanismes de création du stress.
  • La transmission des maladies du stress de la mère à l'enfant .
  • Le traumatisme de la transmission mentale et violence physiques domestiques et éducatives.
  • Et puis enfin les mécanismes inconscients conduits par des réflexes incontrôlés produits par le cerveau limbique.

Les enfants développent alors, les mêmes symptômes que s'ils avaient vécu les mêmes souffrances que leurs parents.

Ainsi nait le sentiment de culpabilité , les maladies psychosomatiques , l'anxiété, les troubles de l'attachement, les peurs de l'abandon, des difficultés à trouver ou à prendre sa place.

Lorsque l’on regarde attentivement les parcours généalogiques des familles, on observe la récurrence des différentes formes de souffrances, particulièrement dans le domaine des abus sexuels.

Lors d'une thérapie les souvenirs refont surface et permettent  aux patients de pouvoir exprimer les non-dits, les secrets.

Lorsque les patients révèlent toutes ces violences, ils finissent par évacuer leurs traumatismes en recouvrant  la mémoire des souvenirs refoulés durant de nombreuses années.

Mettre au jour ce passé enfoui, permet à la personne de pouvoir sortir d'une situation toxique.

Le rôle des parents, est en principe un rôle de protecteur, pas toujours facile à assumer et à mettre en place si leur propre vie fut impactée par des souffrances non digérées et même reconnues. Bien souvent, ils ont été eux-mêmes victimes de faits traumatisants et sans même en avoir conscience, ils perpétuent la souffrance dont ils ont été l'objet.

Ces traumatismes peuvent entraîner des troubles de la personnalité et les phénomènes d'auto mutilation.

Un couple qui a donc évacué ses traumatismes permet aux enfants de vivre dans la chaleur et  l'harmonie d'un foyer équilibré. La thérapie permet donc aux couples d'être alignés et harmonieux pour pouvoir partager le meilleur entre eux et avec leurs enfants. Elle permet donc en effet d'évacuer  les pires de toutes ces charges émotionnelles, au lieu de les garder sous silence et de les perpétuer par l’inconscient aux générations suivantes.

Ma technique de libération de l'inconscient ( ORIUS) a toute sa raison d'être pour épurer et aplanir toutes ces souffrances ressenties pour devenir enfin libre d'être soi.

Témoignage d'une patiente d'abus sexuel

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Article Psychologie Magazine Mai 2017

Témoignage de patiente suite à la lecture de l’article et d’une thérapie ORIUS dans mon cabinet

Témoignage de patiente suite à la lecture de l’article et d’une thérapie ORIUS dans mon cabinet

Article Psychologie Magazine de Mai 2017

Le traitement et suivi psychologique du surpoids

Patiente avec buses pour thérapie EMDR seance de psychologie

Publication à la fédération française à l’étude de la reproduction

Ma technique novatrice augmenterait-elle les chances de grossesse"?

Oui, pourquoi?

Publication scientifique présentée lors de la 21 ème journée de la Fédération Française à l'Etude de la Reproduction (FFER) du 21 au 23 septembre 2016 à la Maison de la Chimie à Paris.

 

FFER Valerie Grumelin et Véronique Bied Damon

Publication FFER

Explications sur ma technique de travail de dépouillement du conditionnement émotionnel:
Le mental dépend du cerveau.Sans cerveau nous ne pouvons ni penser ni imaginer ni ressentir.
Notre cerveau est activé par un réseau de 90 milliards de neurones.
Nous commençons seulement à découvrir comment leur activité se rapporte à ce qu'il se passe dans notre mental.La texture du cerveau est pareille au Tofu il pèse environ 1 kilo 36 et rappelle la forme d'un chou-fleur.

Je suis attirée par le cerveau car il définit qui nous sommes.
Hippocrate disait déjà à son époque que c'est seulement du cerveau que viennent les joies et les peines les rires et les larmes les découragements et les lamentations.L'ensemble de ces émotions ne sont en fait que le comportement d'une vaste assemblée de cellules nerveuses et de leurs molécules associées.

Je vous laisse vous représenter ce que l'ensemble des conditionnements de nos parents peuvent faire comme ravages durant notre vie utérine , restés enfouis dans notre cerveau limbique, responsable des réflexes incontrôlés et influer dès la petite enfance positivement comme négativement sur nos propres modes de pensées et comportements!
Comprendre notre cerveau c'est commencer à nous comprendre nous mêmes ainsi que notre place jamais neutre dans la famille , la communauté et la société environnante.
Nous sommes capables de communiquer entre plusieurs de nos neurones à la fois disposant de la même information.Nous pouvons coordonner corriger et prendre des décisions.
Grâce à l'hippocampe nous pouvons nous souvenir et oublier.
Chaque axone de nos neurones est gainé de myéline pour isoler les axones voisins et accroître la vitesse des influx nerveux le parcourant pour traiter une information.
Le cerveau ne représente que 2 pour cent du poids corporel mais 20 pour cent des besoins énergétiques lui sont alloués.
Le génome humain comporte 22000 gènes et le cerveau utilise 70 pour cent de nos 22000 gènes sachant que leur activité est régulée par l'expérience.
A mesure que nos besoins changent des gènes différents sont activés ou désactivés.

Nous sommes donc susceptibles d'être menacés et sommes capables de nous modifier pour nous permettre croissance et adaptation. Nous sommes en évolution permanente jusqu'à se servir de nos pouces opposables pour envoyer des sms.Le cerveau se parle à lui même grâce au langage individuel et collectif de nos neurones.
Nous savons désormais que nous pouvons induire des images virtuelles conduisant notre cerveau à percevoir ces images comme étant réellement les siennes.
Dans les techniques d'hypnose et d'EMDR ainsi que dans le Rebirth intra-utérin on le constate facilement. Même l'illusion de la main en caoutchouc conduit donc le cerveau à la penser sienne et l'actionner comme telle. Il parait donc simple de conditionner un cerveau.

Mon travail consiste donc à suivre le process inverse et viser à le déconditionner en reprogrammant en lui de nouveaux ordres positifs validant sa personnalité et lui permettant de s'accomplir libéré des poids de son passé nichés dans son cerveau limbique, responsable , l'empêchant de prendre conscience de son libre arbitre.
Cette désactivation en Rebirth intra-utérin s'effectue grâce au processus de la régression appliquée par l'audio scan de l'Emdr agissant comme un relaxant idéal sur le cerveau en permettant au mental de se situer plongé dans un lieu ressource établi avec le patient au préalable de la séance le conduisant à l'harmonie en ses 5 sens. Visuel olfactif gustatif kinesthésiques et auditif.

Ainsi éveillé mais détendu à l'extrême le patient retrouve par sa renaissance un ancrage nouveau déconditionné de tout autre regard sur lui même que le seul désir d׳être authentique libre et aligné.Ceci résultant du coliculus supérieur qui joue un rôle pour l'orientation des récepteurs sensoriels de la tête vers des objets qui nous intéressent.le lieu ressource n'est autre que le lieu idéal ou le patient se ressent apaisé libre et sans danger.
Le cerveau démontre ainsi sa plasticité cérébrale.
Les émotions sont profondément dépendantes de la manière dont le cerveau et le corps réagissent l'un à l'autre.

Ainsi je permets aux patients de lever leurs blocages inconscients et de continuer leur route sans culpabilité ni frustration vers leur accomplissement.

Pourquoi parfois il est si compliqué de donner vie?
En effet comme vous l'aurez compris, ce qu'il se passe pour la mère lors de la gestation de son fœtus est du plus important pour lui !
Véritable éponge émotionnelle durant les neuf mois pendant lesquels il occupera entièrement le petit appartement tout feutré soit-il, que lui offrira l'utérus de sa maman , il captera.
Ses peines ses joies ses angoisses ses bonheurs, désirs et frustrations, attentes et déceptions, tout !
Il ressentira tout !
C'est ainsi que lui seront communiqués des conditionnements parentaux,  des son origine , c'est pour cela qu'il est bon de comprendre quels furent les sentiments animés par notre mère et notre père des notre propre conception , pour comprendre les frustrations les carences affectives qui nous ont menés à se sentir digne ou pas d'être parents , nous-mêmes .
Il est évident que l'on ne veut pas faire vivre à son enfant ce que nous avons vécu comme traumatismes durant notre première période de vie , car offrir la vie en procréant , veut dire estimer la vie que l'on a vécue, la valider valable  et suffisamment bonne pour se projeter dans un avenir positif et harmonieux , suffisamment comblés de nos attentes affectives parentales , pour donner à l'amour de notre couple marital un fruit béni de ce partage.

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Les carences affectives et-le manque d'estime de soi Valerie Grumelin

Les carences affectives et le manque d’estime de soi

De la carence peut venir la souffrance

Les signes permettant d’identifier l’existence d’une carence affective, sont nombreux. Lorsqu’on souffre de carence affective, on a le don de se lancer dans des relations de couple souffrantes. On attend de la part de l’autre qu’il nous donne ce que l’on n’a pas reçu durant notre enfance. C’est à dire l’affection, la reconnaissance, l’attention, etc… Toutes ces situations répétitives développent des mécanismes de défense compensatoire.

Cette carence affective, c’est un besoin fondamental qui n’a pas été comblé. Avant de naître, un enfant a vécu dans le ventre de sa mère pendant 9 mois. Il y a été enveloppé, bercé et porté le plus naturellement, lorsqu’ il fut désiré. Quand il vient au monde, il ne peut pas brutalement, cesser d’avoir besoin de contact humain. L’enfant, comme l’adulte plus tard, garde donc le besoin d’être chéri, enveloppé, d’être câliné. Au niveau de l’enfance, si les parents gardent une distance, l’enfant va être en demande, en recherche, en quête pour être pris dans les bras. Et le besoin de contact, de tendresse est aussi important que le besoin de chaleur ou de nourriture. De la carence peut venir la souffrance, c’est une situation douloureuse que l’on n’a pas pu gérer et digérer. Il est difficile de définir ce que ressent une personne en carence affective.

- Elle a l’impression d’être destinée à toujours rester seule, à ne jamais trouver d’épanouissement, à ne jamais parvenir à être entendue ou comprise, à ne pas mériter.

- Elle ressent une sensation de vide, de solitude et d’absence avec la certitude douloureuse et angoissante d’être condamnée à la solitude. La carence affective est liée aux ressentis de l’enfant négligé.

La personne a la certitude que les autres ne donneront pas le soutient affectif dont elle a besoin.

On peut distinguer trois catégories principales :

Manque d’apports affectifs :

Absence d’attention, d’affection, de chaleur, ou d’une présence amicale.

Manque d’empathie :

Absence de quelqu’un de compréhensif qui vous écoute et de quelqu’un à qui parler de soi-même.

Manque de protection :

Absence de quelqu’un de fort qui guide et conseille.

C’est ainsi que ce besoin non comblé de tendresse , continue à crier en soi. Une personne en carence affective va chercher à combler ce manque. Elle va demander (consciemment ou non) aux personnes qu’elle côtoie, de la combler, comme si celles-ci étaient susceptibles de pouvoir compenser ce qu’elle n’a pas reçu comme tendresse, comme affection, comme sécurité.

Elle aura l’impression de ne jamais être assez prise en considération, jamais être assez aimée, et ce manque est en fait l’écho de ce qui lui a jadis manqué de la part de ses parents. Ce qu’on lui donne n’est jamais assez puisque cela ne peut emplir le manque qui vient de l’enfance. Mais l’inverse est aussi possible : si un parent a surprotégé son enfant, l’adulte plus tard va rechercher cette même surprotection, cette même forme d’amour.

Dans le couple, cela donne par exemple, un partenaire qui veut à tout prix être aimé. Il est dans une telle attente d’amour que cela peut faire peur et étouffer l ‘ autre. Et même quand on l’aime, il ne se sent jamais assez aimé.

Soigner les carences affectives avec un suivi psychologique

Il peut douter de l’amour que l’on lui porte car il ne se sent pas digne d’être aimé. Il a donc un manque de confiance en lui, ne se sent pas une belle personne, voire complexé, pas attirant et manque d’estime. La moindre remarque ou attitude sera interprétée comme un refus, un rejet, un abandon ou un manque d’amour, et cela tend à provoquer un mal-être, des frustrations, des peurs et des angoisses caractéristiques.

Cette peur de ne pas être aimé, fausse le jugement et emmène en dehors de la réalité. « Et la peur génère 3 types de comportements. On peut la subir sans réagir, et c’est l’inhibition qui correspond à une sorte de souffrance dépressive. On peut plutôt prendre une position défensive : même quand on vous aime, vous n’y croyez pas. On refoule l’amour, on n’y croit pas, car on pense que ce n’est pas possible d’être aimé.

Et le troisième comportement possible face à la peur, c’est la fuite. La peur l’emporte sur le désir d’être aimé qui pourtant est très présent.

Arrêter de croire que l’amour va panser les souffrances.

Un travail sur soi est indispensable pour identifier ses blessures. Comprendre pourquoi l’on fonctionne ainsi, avec des souffrances à répétition… Il faut apprendre à s’aimer soi-même, travailler sur la confiance en soi. Sentir que notre souffrance prend sa racine dans notre passé. Au final, il faut se reconstruire faire le point de ses carences, les soigner en , en prenant conscience pour enfin accepter d’aimer et être aimé(e).


Témoignage du patient après sa thérapie de rebirth intra-utérin ORIUS

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Thérapie de couple et médiation familiale cabinet psychologie à Paris

Divorcer pourquoi?

Thérapie de couple et médiation familiale cabinet psychologie à Paris

L'amour était bien là mais caché...

La thérapie d’accompagnement de couple pour une meilleure entente familiale, se passe très bien en couple et en quelques séances. L’on s’aperçoit vite si vraiment l’ on ne s’entend plus ou l’on ne s’écoute plus, si l’amour est là ou s’il a disparu. Grâce au regard extérieur et sans jugement du médiateur, 9 couples sur 10 après une thérapie d’une dizaines de séances d’accompagnement  pour un meilleur équilibre familial, ressentent que l’amour était bien là mais caché derrière les illusions de l’un et les désillusions de l’autre. Beaucoup de maladresse en quelque sorte

Retrouver l'harmonie

Il en est de même dans mes thérapies parents enfants, ou frères sœurs, en quelques séances les relations s’apaisent et le duo ou le trio retrouve son harmonie. En cas de décision de divorce au fil des séances, je travaille avec une avocate spécialiste du droit de la famille avec laquelle nous prenons en charge les désirs de l’un et de l'autre afin qu’il n’y ait qu’un avocat pour les deux époux et viser à un divorce à l’amiable en consentement mutuel. Un forfait financier est déterminé et ainsi les frais amoindris permettent aux parents de faire profiter d’avantage à leurs enfants plutôt que de disperser des sommes astronomiques dans des conflits et des plaidoiries à répétition entre deux confrères adverses. Le livre que nous écrivons actuellement sur la problématique parentale en cas de divorce vis à vis des enfants en témoignera. Divorcer en tant que conjoints ne veut pas dire divorcer en tant que parents et échouer sur l’harmonie familiale !

En cas de décès et de conflit successoral

Je propose une médiation successorale qui permet aux avocats de gagner un temps précieux et aux héritiers de s’épargner des conflits familiaux et des dépenses couteuses en frais juridiques. Je prends contact avec les membres de la famille, avec diplomatie  finesse et tact ,parviens à mettre tout le monde d’accord pour garder des liens familiaux harmonieux et faire du partage successoral un moment privilégié en échange et en communication. Ecouter les peines les injustices les remords et les regrets de chacun permet de régler les problèmes financiers efficacement et rapidement.

Idéal n°1 : Tout le monde s’aime

La cohabitation est naturellement harmonieuse. La tendresse, le respect et la complicité règnent, faisant du quotidien un petit havre de paix. Ce bel idéal repose sur une grossière erreur de jugement. Car chacun sait que les sentiments sont toujours ambivalents, que la rivalité fait partie de l’amour familial, tout comme l’agacement, la colère ou la haine… « Vouloir nier cette dimension des êtres humains entre eux, c’est vivre en désaccord total avec ses émotions, et cela rend fou, en famille, deux besoins s’opposent sans cesse : celui de l’autre et celui d’être autonome. « Ce mouvement de balancier doit pouvoir se faire sans censure ni autocensure. Il est parfois conflictuel, douloureux, mais il constitue l’indispensable apprentissage de la séparation : une fois trop près, une fois trop loin. Et puis un jour, on trouve la bonne distance. » « On entend en consultation, : “Mes enfants sont très sympas !” Comme si la famille était un club fondé sur les affinités de ses membres. Mais on n’a pas à aimer son enfant pour ses qualités ou le plaisir de sa compagnie, on a le devoir de lui transmettre des règles et le meilleur cadre de vie possible. N’oublions pas non plus qu’un enfant “sympa” peut se transformer en enfant “pas sympa”. Cessera-t-on alors de l’aimer ? On mesure à quel point cette “sentimentalisation” de la famille est préjudiciable pour tous. »

Idéal n°2 : Chacun se parle et s’écoute

La communication est fluide, les malentendus sont aussitôt dissipés. Pas de portes claquées, pas de cris, pas de stress. Comment les conflits pourraient-ils se développer dans un tel milieu ? La vision est, reconnaissons-le, enchanteresse. « Parce que les liens sont plus précaires qu’autrefois, le conflit est aujourd’hui vécu comme une menace, associé à la mésentente, donc à une possible explosion du couple ou de la cellule familiale. Alors on évite tout ce qui peut être source de désaccord. On négocie, on marchande, on séduit, mais on ne s’affronte pas. C’est un mauvais calcul, car les conflits assainissent les relations et permettent à chacun d’être reconnu dans son rôle et dans sa valeur. » Chaque conflit étouffé nourrit une violence souterraine, qui finira par éclater ou par se retourner contre soi. En consultation, nous constatons d’ailleurs que, pour la plupart des parents, bien communiquer signifie beaucoup parler. Le nouveau mal du siècle. Trop de mots, trop d’explications, trop de répétitions finissent par aboutir au contraire du résultat escompté : les enfants n’entendent plus rien !  Une famille, c’est comme un couple, on n’a pas besoin de tout se dire tout le temps. « La non-transparence est un marqueur nécessaire de la différence entre générations. Les parents vivent l’intimité émotionnelle et verbale avec leurs enfants comme la preuve d’une vraie complicité entre eux. Les enfants, eux, se sentent piégés dans cette relation, certains allant jusqu’à adopter des comportements extrêmes (addictions, automutilation…), traduisant leur besoin de se séparer. Des conflits leur permettraient d’avoir plus d’oxygène. »

Idéal n°3 : Ni menace, ni chantage, ni punition

L’autorité est superflue, l’enfant intègre les règles facilement. Il accepte « tout seul » que l’interdit posé par ses parents est bien la meilleure façon de l’aider à grandir.
Ce fantasme, largement partagé, a la peau dure. « Dans l’inconscient collectif, il y a cette idée qu’une bonne éducation permettrait aux parents de se passer de l’autorité, remarque t on en écoute de séance. À l’origine de cet idéal, il y a une vision de l’enfant qui aurait tout en lui pour devenir grand, et qu’il faudrait simplement arroser et mettre au soleil pour le voir s’épanouir comme une plante. » Cette conception est ravageuse parce qu’elle fait l’impasse sur le devoir de transmission du parent. Le métier consiste bien, faut-il encore le rappeler, à expliquer les limites et les règles aux enfants avant de les leur imposer, en vue de les « humaniser », les « civiliser », comme disait si justement ma consoeur, Françoise Dolto. D’autant qu’ils sont les premiers à se servir de la culpabilité de leurs parents, et savent en jouer admirablement. La crainte de rompre l’harmonie familiale se retourne a lors contre les adultes. « Les enfants ayant perçu leur difficulté à exercer sur eux une contrainte,  ils vont utiliser plus ou moins ouvertement cette peur. Résultats : chantage, marchandage, et les parents perdent leur crédibilité ! »

Idéal n°4 : La personnalité de chacun s’épanouit

L’épanouissement personnel est sur toutes les lèvres. Le désir d’une vie de famille intense et joyeuse prévaut, à condition de ne pas sacrifier sa vie de couple ni sa liberté individuelle. La famille doit non seulement être un lieu d’apprentissage, mais elle doit désormais garantir la plénitude de chacun. Une équation difficile à résoudre, l’individu moderne aurait sérieusement abaissé son seuil de tolérance à la frustration. Par épanouissement, on entend la plupart du temps « absence de contraintes », condition préalable à une vie de famille heureuse, tendance épicurienne. « La famille est devenue une “instance” qui doit garantir le bonheur de tous. Paradoxalement, cette conception désengage ses membres, les déresponsabilise, car tout se passe comme si la cellule fonctionnait seule. Si on est heureux, c’est une bonne famille; si la machine à bonheur s’enraye, c’est une mauvaise famille. On voit bien comme cette “totémisation” est insécurisante et narcissique. » L’antidote à cette conception toxique de la « famille bonheur » ? Il consisterait en grande partie à ne pas oublier que, pour les enfants, la famille est un lieu où l’on apprend à se séparer pour pouvoir voler de ses propres ailes. Comment avoir envie de sortir du nid si chaque désir y est comblé ?

En apprendre plus sur les problèmes de couple

Stage pour l'harmonie du couple

Stage "pour que le divorce ne soit pas une guerre"

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